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Au pays d'Aricie

25 août 2010

Une jupe boule

Grâce à des coupons qui ne valaient quasi-rien, ma première jupe-boule.

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La première, mais peut-être pas la dernière !

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25 août 2010

Une jupe pour ma soeur

Façon jean, du sur-mesure !

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Devant

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Derrière


Détails :
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C'est la première à bénéficier de mes étiquettes personnalisées !

Pas de trop grosses difficultés pour cette jupe. Mise à part pour la fermeture éclair, j'ai encore un peu de mal. Mais le rendu est quand même plutôt pas trop mal !

25 août 2010

Etiquettes brodées !

Je les ai enfin reçues, des étiquettes brodées pour agrémenter mes petites coutures :

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Elles me plaisent beaucoup !!!

28 juillet 2010

Les Piliers de la Terre

de Ken Follett

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"Dans l'Angleterre du XIIème siècle ravagée par la guerre et la famine, des êtres luttent chacun à leur manière pour s'assurer le pouvoir, la gloire, la sainteté, l'amour, ou simplement de quoi survivre. Les batailles sont féroces, les hasards prodigieux, la nature cruelle. Les fresques se peignent à coups d'épée, les destins se taillent à coups de hache et les cathédrales se bâtissent à coups de miracles... et de saintes ruses. La haine règne, mais l'amour aussi, malmené constamment, blessé parfois, mais vainqueur enfin quand un Dieu, à la vérité souvent trop distrait, consent à se laisser toucher par la foi des hommes."
(quatrième de couverture)

Mon avis :

Ca y est, enfin c'est fait ! Cela faisait déjà un bon moment que Les Piliers de la Terre attendait dans ma PAL. Et je l'ai enfin lu grâce à la lecture commune entre plusieurs membres de Livraddict.

Je suis bien contente de l'avoir lu, mais pas seulement d'une façon positive. Dans un sens, j'en suis enfin débarrassée !
Bon, d'un autre côté, je l'ai quand même plutôt bien aimé ce livre, dans sa globalité et pour son contexte. Mais ce ne fut pas une lecture totalement agréable.
Au début, je me suis tout de suite trouvé plongée dans la lecture. Mais à la longue l'histoire a commencé à m'embêter, des personnages m'ont vraiment énervée. Certains sont quand même réellement détestables.

J'ai trouvé l'histoire trop lourde par moment. Pas dans le genre choquant, il m'en faut vraiment beaucoup pour cela. Mais la répétition des évènements me dérange. La construction de la cathédrale qui est en bonne voie, qui doit s'interrompre, puis reprendre, et s'arrêter encore, recommencer... Par moment j'avais l'impression de tourner en rond, de ne pas avancer dans l'histoire. Pourtant le contexte me plaît bien et même si je n'y connaît pas grand chose je pense que les indications de Ken Follet reflètent bien ce qu'était la réalité de l'époque. Mais j'aurai aimé plus de diversité, et non les mêmes batailles qui revenaient encore et encore.

Certains personnages ont du bon et doivent être très intéressants à connaître, cependant je n'ai pas réussi à m'attacher à l'un d'eux. Et j'ai été super déçue de la fin de Tom le bâtisseur, beaucoup trop rapide à mon goût.

Je ne doute pas du talent de Ken Follett, et l'histoire des Piliers de la Terre aurait pu me passionner, mais écrite différemment. Du coup je ne suis pas tentée par d'autres livres de cet auteur, de peur d'avoir la même réaction.

Pour aller voir les billets des autres membres participants, vous trouverez MeL, Frankie, Véro, Mlle Pointillés. Des avis plus intéressants et plus étoffés que le mien.

12 juillet 2010

Frisson

de Maggie Stiefvater

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"Grace vit dans une petite ville américaine, aux abords d'une forêt. Son enfance a été marquée par l'irruption d'une meute de loups qui l'a attaquée. L'un des animaux l'a sauvée et depuis, un lien étrange s'est établi entre la jeune fille et ce loup. Ombre à la fois protectrice et inquiétante, il rôde autour de la maison isolée.
La mort brutale d'un élève du lycée de Grace déclenche une réaction violente : la ville entière crie au loup, et lance des chasseurs à travers la forêt. Tous les animaux ne parviennent pas à échapper aux balles... le loup de Grace est touché.
Quelques heures plus tard, Grace retrouve sur le pas de sa porte un jeune homme, blessé, au regard étrangement familier..."
(Quatrième de couverture)


Mon avis :

La couverture était plaisante, le quatrième de couverture aussi, et en plus c'est un Black moon. Alors quand Livraddict l'a proposé en partenariat avec les éditions Hachette Jeunesse Black moon, je me suis laissée tenter.

A peine entamé, déjà fini. Je l'ai lu en deux temps trois mouvements, deux jours m'ont suffit. Ce que j'aime bien avec ce genre de livre, c'est qu'il se lit bien et rapidement. Il n'y a pas de prise de tête, on n'a pas besoin de réfléchir. C'est vraiment un livre pour un simple moment de détente.
Au delà de ça, c'est un livre jeunesse. Je pourrai évidemment parler du vocabulaire pas énormément rechercher. Mais c'est généralement typique au livre jeunesse.
Bref, c'est une histoire d'adolescents, un garçon et une fille semblablement trop différents pour vivre une histoire ensemble. Sauf qu'ils ne sont pas si différents que ça. De plus le mythe du loup-garou est revisité. Fini la lune et les balles d'argent, fini la transformation quand on en a envie. Ce loup-garou là me plaît bien, il subit son existence, il essai d'aller contre mais il n'a pas le choix quant à sa transformation.
Alors oui c'est un livre bien sympa. Mais l'exposition est trop longue. De la bonne action, on en voit que dans le dernier quartier du livre. Ce n'est pas assez à mon goût.

Mais en espérant que cette action continue dans le deuxième tome dès le début, je pense que je chercherais à le lire. J'ai quand même bien envie de savoir la suite.


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27 juin 2010

L'Art de Vivre au maximum avec le minimum

de J.R. Geyer

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«Ça fait des années, plus exactement des dizaines d'années, presque une vie que je pratique l'art de vivre au maximum avec le minimum et ces derniers temps, j'ai intensifié la chose. Ce qui signifie que quand j'ai entre mon pouce et mon index une pièce d'un euro, avec cette pièce ourlée de cuivre frappée de l'emblème du pays, j'en double la valeur ou je la multiplie par trois ou par cinq, voire par dix ; selon les circonstances. Je n'achète jamais au prix que coûte l'objet, jamais».

Ce livre est une sorte de Walden, ou la vie dans les bois, la magnifique ode d'Henry David Thoreau transposée dans notre forêt urbaine, contemporaine, ses rayons de supermarché, ses marchés aux fripes, aux puces : autrement dit, comment être pauvre et gourmet tout à la fois, comment se suffire dans «une misère dorée», être rassasié sans perdre son appétit de vivre, ou comment l'emporter sur la vie qu'on nous propose, être plus riche en étant plus pauvre. «Le peu amène une satiété, écrit l'auteur, quand on sait la vivre en conscience.»

J.-R. Geyer : sous ce nom se cache un écrivain confirmé et un anti-social qui entend le rester.
(Quatrième de couverture)

Mon avis :

Il s'agit d'un petit livre de 31 pages, mais qui signifie vraiment beaucoup de choses. J.-R. Geyer vit en marge de la société. Il n'accepte de la société que la possibilité de se nourrir, de se vêtir et de se loger, à sa façon.
On peut le voir comme un manuel, celui de pouvoir vivre dans une "pauvreté dorée" quand on a rien. J.-R. Geyer n'a pas toujours rien eu. Il possédait d'ailleurs beaucoup, une maison, une femme, une famille... Après un divorce coûteux et une pension alimentaire, il ne reste rien. C'est comme cela que la plupart d'entre nous pourrait le voir. Mais pas lui. Il se contente de ce qu'il a, organise son "luxe". Connaissant toutes les bonnes astuces pour agrémenter ses plats, de trois fois rien il se concocte des menus gastronomique. Il reconnaît les bons endroit et les bonnes affaires. Un logement en échange de services ou d'une somme modique, il ne se retrouve jamais à la rue.

Ce n'est pas par obligation, c'est son choix de vie. J.-R. Geyer n'a pas d'attache, il peut aller où il veut, quand il veut. Il vit sa vie à sa façon, par ses propres moyens, sans rien devoir à qui que ce soit. Alors oui, il faut être débrouillard, et surtout avoir beaucoup de courage. Mais c'est une bonne leçon de vie. Il est clair que l'argent contribue au bonheur. Mais un minimum peut suffire. Il n'y a pas besoin d'avoir des cents et des milles pour être heureux.

Et surtout on a pas besoin de suivre la société, de faire ce qu'elle nous dicte pour être bien dans sa vie.

L'Art de Vivre au maximum avec le minimum est aux Editions Indigène, dans la collection "Ceux qui marchent contre le vent". Une édition et une collection à suivre.

"Une maison d'édition dédiée aux arts et aux savoirs des cultures non industrielles du monde, des Premières Nations : Aborigènes d'Australie ; Indiens d'Amérique ; Inuit du Canada ; Maori et Papou du Pacifique ; Tibétains… sans oublier nos propres « indigènes », tous ceux qui, chez nous, se sentent les otages de systèmes culturels, politiques et économiques dans lesquels ils ne se reconnaissent pas." (site internet)



21 juin 2010

Un peu de couleur pour mon hibiscus

Après trois ans de patience, voici la première fleur :

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20 juin 2010

Mercy Thompson, tome 4 : La Croix d'Ossements

de Patricia Briggs

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"Marsilia, la Reine des vampires de la région, a appris que Mercy l'avait trompée en tuant l'un des membres de son clan... et elle n'acceptera que le prix du sang pour venger cette trahison. La jeune coyote-garou vient de tomber sur un os, car la sentence qui pèse sur elle en fait la cible de toutes les créatures à la botte des vampires. Heureusement que Mercy peut compter sur Stefan et sur l'Alpha si sexy qui a juré de la protéger. Mais s'ils étaient menacés par sa simple présence ? Et si, pour les épargner, Mercy n'avait plus qu'un seul choix : partir ?"
(Quatrième de couverture)

Mon avis :

J'aime toujours autant suivre les aventures des habitants des Tri-Cities. Patricia Briggs nous en offre encore un épisode de très bonne qualité.

Sans tergiverser, un des éléments qui m'a bien plu dans ce livre est le retour de Stefan, peu vu dans le troisième tome. Même si sa description à son arrivée chez Mercy est peu valorisante pour lui.
L'histoire est toujours aussi prenante, Mercy est toujours aussi forte et Adam, toujours aussi séduisant, il faut bien l'admettre.

Je pense que des quatre tomes, c'est le premier mon préféré, mais celui-là se place facilement en seconde position. Il n'y a rien à redire, tout est parfait dans cette saga.

Si seulement moi aussi, je pouvais rencontrer un jeune et beau vampire. Je me contenterais même d'un loup-garou
En tout cas, l'attente jusqu'au tome suivant va être bien longue.
J'espère un rebondissement. Car je crains que l'affirmation et la stabilisation de la relation entre Mercy et Adam ralentisse un peu le rythme de l'action pour la suite. Et je trouverais cela vraiment dommage. Mais d'un autre côté, à la vue des quatre premiers, je pense que Patricia Briggs nous réserve de bonnes surprises.
Cette lecture est vraiment une réussite.

19 juin 2010

Mansfield Park

de Jane Austen

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"On ne sait pratiquement rien d'elle, sinon quelques dates et lieux où elle a vécu. Son iconographie est réduite à son portrait que fit d'elle sa soeur. Jane Austen (1775-1817) serait tombée dans l'oubli le plus total, n'étaient les six romans qu'elle écrivit, et qui sont parmi les plus étonnants du domaine romanesque anglais... Il ne s'y passe littéralement rien. Ils racontent principalement les rapports qui se tissent entre des demoiselles à marier et des épouseurs en puissance. Ils sont faits de dialogues et d'évocation brèves : mondanités, jardins, maisons de campagne, voilà pour le cadre.
La cérémonie du thé, la préparation et le déroulement des bals, voilà pour les évènements majeurs. Et pourtant, avec une matière d'une apparence si mince, Jane Austen a fasciné des lecteurs de la qualité de Virginia Woolf et de Henry James, et continue de fasciner un public important."
Hubert Juin, Le Monde
(Quatrième de couverture)

Mon avis :

Mauvaise élève que je suis, voici encore une lecture commune avec des membres de Livraddict que je n'aurai pas fini à temps. Mais j'en pense déjà quelque chose alors ce n'est pas un problème ! Je viendrai compléter ce petit article plus tard.

Mansfield Park est l'adaptation cinématographique des oeuvres de Jane Austen que je préfère. En ce qui concerne la lecture je n'ai lu qu'Orgueil et préjugés que j'avais beaucoup aimé. Et ce livre confirme.
J'aime l'écriture de Jane Austen, l'univers de ses oeuvres. De ce point de vue là, je n'ai pas grand chose à redire.

En ce qui concerne les personnages, je dois avouer qu'Edmond, qui me plaît beaucoup dans le film (allez savoir pourquoi, moi-même je n'en sais rien),m'agace quelque peu dans ce livre. Il ferait mieux de l'oublier un peu sa Mary Crawford, et d'ouvrir enfin les yeux. Je ne vois pas ce qu'elle a de plus que moi !
Trêve de plaisanterie, Edmond est un peu trop niai et Fanny n'est pas assez affirmée à mon goût. Quant à Tante Norris, elle m'insupporte vraiment.
Mais dans l'aspect général, ce livre est fidèle à l'image que je m'en faisais et cette lecture est un plaisir.

Il me tarde de le finir pour savoir comment se déroule le coup de foudre d'Edmond pour Fanny.

Pour aller voir les avis des autres participantes, allez donc voir Fée, Mallou et Galleane.

En attendant, je vais descendre dans la rue, au milieu de la foule pour choisir le pourpre.
Sait-on jamais, cela fonctionne pour Fanny, pourquoi pas pour moi ?!!!

16 juin 2010

Oscar Pill

d'Eli Anderson
Tome 1 : La Révélation des Médicus

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"Je m'appelle Oscar Pill et je ne suis pas un garçon comme les autres. Je suis un Médicus : j'ai le pouvoir extraordinaire de voyager dans n'importe quel corps vivant. Comme mon père, qui fut autrefois un célèbre Médicus avant de disparaître. Aujourd'hui, l'humanité entière est à nouveau menacée : Skarsdale, le sombre Prince des Pathologus, s'est échappé de sa prison. Et moi, j'ai été choisi pour l'affronter. Il me faut braver tous les dangers et rapporter un Trophée d'un endroit où je ne suis jamais allé. Un univers mystérieux qui se trouve... dans le corps humain."
(Quatrième de couverture)

Mon avis :

J'ai pu faire la rencontre avec Oscar Pill par le biais de Livraddict et des Editions Albin Michel, dans le cadre d'un book-club spécial suivit d'une rencontre virtuelle avec l'auteur, Eli Anderson. Je les en remercie tous, pour ces deux premiers tomes, La Révélation des Médicus, et Les Deux Royaumes.

Oscar est un jeune garçon avec un fort caractère. De ce point de vue, le personnage me plaît bien, même si j'apprécie encore plus sa sœur avec son côté totalement décalé. Mais je n'ai pas trouvé les personnages si attachant que ça.
Ce qui me plaît le plus dans cet univers, c'est la description du corps humain. Il s'agit d'un véritable monde intérieur, avec ses paysages, ses habitants. Et c'est tellement bien décrit, que j'aurai presque envie d'y croire. Cela en donne une bonne image. Si mes cours de sciences avaient ressemblés à cela, j'aurai sûrement appris plus de choses.
Sans oublier que les Médicus entrant dans notre corps pour nous guérir, c'est quand même bien tentant.

J'ai pu lire qu'Eli Anderson avait suivi des études de médecine. Cela doit expliquer la qualité de la description intérieure qu'il fait de notre corps.
Et ne serait-ce pas un fantasme de médecin que d'entrer dans le corps humain pour découvrir plus rapidement ce dont les malades souffrent et les aider à guérir ?

Dans ce premier tome des aventures d'Oscar Pill, on découvre l'univers d'Hépatolia qui semble correspondre à tout notre système digestif. On prend aussi connaissance du personnage principal et de sa famille, de ses amis (anciens et nouveaux), des Médicus...

Je ne pourrai pas dire que cette lecture est un coup de cœur. J'apprécie l'univers qui y est décrit. Mais un jeune garçon, avec une histoire familiale difficile et doté de pouvoirs surnaturels ne m'attire pas plus que ça.
Cependant pour la qualité de l'écriture et les descriptions des cinq univers du corps humain, et pour en apprendre un peu plus sur les Pathologus, peut-être que je continuerais à suivre les aventures d'Oscar.

Tome 2 : Les Deux Royaumes

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"Un an s'est écoulé depuis mon premier voyage. J'ai appris des choses troublantes sur mon père, un célèbre Médicus disparu. Je dois découvrir la vérité sur lui. Enfin, mon pendentif retrouve son éclat : l'ordre des Médicus a besoin de moi ! Cette fois, je dois pénétrer dans le second Univers, là où se trouvent les deux Royaumes mystérieux, Pompée et les Souffles. Le Prince Noir, mon ennemi irréductible le sait-il déjà ? Depuis que j'ai été choisi pour lutter contre lui, il a entamé une guerre sans merci contre moi. Mais je suis prêt à le combattre. Plus que jamais."
(Quatrième de couverture)


Mon avis :

Voilà la suite des aventures du jeune Oscar Pill. Je ne m'attendais pas à louper un an de sa vie. Mais finalement ce n'est peut-être pas si mal. On peut laisser libre court à notre imagination pour combler cet espace-temps vide.

Dans ce deuxième tome, on entre dans le second univers du corps humain. Les descriptions sont aussi précises que dans La Révélation des Médicus. Le rythme ne s'essouffle pas. Au contraire je le trouve encore plus soutenu. Il n'y a plus toute la prise de connaissance avec les Médicus, leurs pouvoirs et les univers qui m'avait quelque peu ennuyée dans le premier tome.

Les personnages de Violette et Valentine sont de plus en plus attachant et celui de Ronan Moss est quand même assez détestable, mais ça c'est parce qu'ici je préfère quand même les gentils. Par contre j'ai quand même un peu de mal à m'attacher à celui d'Oscar. Je n'arrive pas bien à le cerner, à le comprendre, et ça me dérange un peu.

Comme pour La Révélation des Médicus, ce qui m'attire le plus dans ce livre, c'est les univers. Ici celui du coeur et des poumons. Je me suis amusée à imaginer le mauvais état du second univers de Monsieur Leonid Smith. L'auteur aurait aimé lancé un petit message "Fumer et boire nuit gravement à la santé" que ça ne m'étonnerais pas. Dans un sens c'est plutôt réussi. Personnellement je ne souhaite pas de problèmes à tous mes éoliens et autres petits habitants de mon intérieur.

Tout ça pour dire que j'ai préféré ce deuxième tome au premier. Ce n'est toujours pas un gros coup de coeur. Mais si l'occasion se présente, je lirai la suite avec plaisir. Et j'attends demain la discussion avec l'auteur pour lui posait deux, trois questions qui me trottent dans la tête.

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